Quand je t’ai vu, mon regard sur toi c’est figé,
Car de l’Amour, j’ai reconnu son messager,
La vue de ton corps, fût une délectation,
Ton sourire devint pour moi une obsession,
Le désir de pouvoir te prendre dans mes bras,
E t attendre ce jour où tu m’appartiendras,
Enfin sur ta chair convoitée, glisser mes mains,
D’être le matin à ton réveil, le témoin,
Cueillir de mes lèvres ce parfum en douceur,
Pour succomber à ton charme dévastateur,
Envoûté par l’indécence de ta pudeur,
Se déculpe cette indicible ardeur,
Me contentant simplement d’effleurer tes yeux,
En la frustration d’un fantasme merveilleux.
Car de l’Amour, j’ai reconnu son messager,
La vue de ton corps, fût une délectation,
Ton sourire devint pour moi une obsession,
Le désir de pouvoir te prendre dans mes bras,
E t attendre ce jour où tu m’appartiendras,
Enfin sur ta chair convoitée, glisser mes mains,
D’être le matin à ton réveil, le témoin,
Cueillir de mes lèvres ce parfum en douceur,
Pour succomber à ton charme dévastateur,
Envoûté par l’indécence de ta pudeur,
Se déculpe cette indicible ardeur,
Me contentant simplement d’effleurer tes yeux,
En la frustration d’un fantasme merveilleux.