L'annexe,
Un si bel Érigé, un si fier Tendu,
Une goutte de plus au creux de la vertu,
Certaines adoucissent de tremblantes cuisses
Et entament une glisse qui court aux coulisses.
Un parcours savant que dessine la parlure,
Un majeur si lent près d'une timide évasure,
Une invitation au flanc qu'offre la démesure.
Ici s'arrêtent le temps et ses fidèles brasures !
Enfilée doucement, par l'érudite enflure,
Privée des hurlants qui entravent et abjurent,
L'affiche d'une béance, épouse de l'allure
Et cercle d'une transe qui invite à l'injure.
L'extase se plante aux affres de la mesure,
L'euphorie complaisante par mille parjures,
Une liesse arrosante qui distille l'impure
Et écréme l'amante au torchis d'une masure.
Maud Contal © copyright
Un si bel Érigé, un si fier Tendu,
Une goutte de plus au creux de la vertu,
Certaines adoucissent de tremblantes cuisses
Et entament une glisse qui court aux coulisses.
Un parcours savant que dessine la parlure,
Un majeur si lent près d'une timide évasure,
Une invitation au flanc qu'offre la démesure.
Ici s'arrêtent le temps et ses fidèles brasures !
Enfilée doucement, par l'érudite enflure,
Privée des hurlants qui entravent et abjurent,
L'affiche d'une béance, épouse de l'allure
Et cercle d'une transe qui invite à l'injure.
L'extase se plante aux affres de la mesure,
L'euphorie complaisante par mille parjures,
Une liesse arrosante qui distille l'impure
Et écréme l'amante au torchis d'une masure.
Maud Contal © copyright