Comme les pies attirées par la lumière,
Toujours à la recherche de trésors brillants,
Attirés par la plage, père, mère, sœur et frère,
Partent se coucher sur le sable brûlant.
Ils allaient quérir les fabuleuses journées,
Que la Corse cache sur ses terres lointaines,
Joliment balayées par les vents Alizés,
En pensant bien sûr à mettre de la crème.
Chaque soir, toujours, en pansant leurs brûlures,
Ils cherchent souvent à soigner leurs blessures,
A chasser cette douleur qui leur zèbre le dos.
Où penché à l'avant en cherchant du poisson,
Ils rentraient bredouille dans leurs belles maisons.
Du fond de l'océan riaient les maquereaux.
Toujours à la recherche de trésors brillants,
Attirés par la plage, père, mère, sœur et frère,
Partent se coucher sur le sable brûlant.
Ils allaient quérir les fabuleuses journées,
Que la Corse cache sur ses terres lointaines,
Joliment balayées par les vents Alizés,
En pensant bien sûr à mettre de la crème.
Chaque soir, toujours, en pansant leurs brûlures,
Ils cherchent souvent à soigner leurs blessures,
A chasser cette douleur qui leur zèbre le dos.
Où penché à l'avant en cherchant du poisson,
Ils rentraient bredouille dans leurs belles maisons.
Du fond de l'océan riaient les maquereaux.